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Bisexualité un état d’être ou une identité ?

Extrait du site http://www.bisexualite.info/

Site parlant de la psychologie bisexuel 
 
Bisexualité un état d’être ou une identité ?
La bisexualité est la capacité d’être émotionnellement, amoureusement et/ou sexuellement attiré(e) par les personnes des deux sexes. Mais une personne bisexuelle n’est pas nécessairement attirée par les deux sexes à parts égales, et le degré d’attirance peut varier avec le temps.
Parce que les personnes qui se reconnaissent comme bisexuelles se définissent essentiellement par le « sentiment d’être » (c'est-à-dire la capacité, vécue ou pas, d’être attiré par l’un ou l’autre sexe), on ne peut pas forcément la considérer comme une identité sexuelle mais plutôt comme l’expression de la diversité sexuelle et affective chez l’être humain.
Ce sont donc plus les qualités et les caractéristiques propres de la personne désirée qui comptent que son sexe ; les possibilités de pratiques sexuelles étant « inscrites » dans la personnalité de l’individu, elles pourront s’exercer avec l’un ou l’autre sexe en fonction des sentiments éprouvés pour la personne désirée ou aimée.
C’est pourquoi, en ce sens, ce qui importe d’abord, c’est la capacité d’assumer psychologiquement sa bisexualité afin d’être en harmonie avec soi-même.
Ainsi, une personne peut se reconnaître comme bisexuelle sans avoir pour autant une importante pratique sexuelle avec des personnes de même sexe.
A l’inverse, une personne peut avoir des relations physiques homosexuelles assez fréquentes et refuser de se considérer autrement que comme hétérosexuelle ; mais un tel déni et une occultation –d’abord à soi-même- de la réalité ne peut conduire qu’à vivre pour partie caché (avec inévitablement différentes conséquences) et dans un état de mal-être plus ou moins latent dont ce déni est un révélateur.
Il arrive également qu’une personne s’affirme comme homosexuelle, alors qu’elle a eu – par exemple- auparavant une vie hétérosexuelle qui n’était pas forcément insatisfaisante. Une préférence homosexuelle n’est pas nécessairement synonyme d’homosexualité totale.
Il n’existe donc pas de comportement type de bisexualité.
Mais parce que, comme toute orientation sexuelle, elle est la résultante et la traduction des sentiments, des impressions reçues et ressenties, et surtout des différentes attirances affectives de la plus jeune enfance, la bisexualité fait partie intégrante de l’individu. Il ne peut donc se réaliser pleinement en l’occultant ou en la niant.
Pour beaucoup de théoriciens, Freud y compris, tout individu a une composante homosexuelle. Dans la grande majorité des cas elle est naturellement sublimée après d’éventuels tâtonnements lors de l’adolescence. Mais dans d’autres cas, elle est la plus importante jusqu’à gommer la composante hétérosexuelle. Il y a ainsi une sorte de « palette » des comportements. Dans la bisexualité les deux composantes demeurent, à des degrés divers, mais elles sont suffisamment fortes l’une et l’autre pour faire partie du « vouloir vivre » -conscient ou occulté- de l’individu.
C’est s’il ne le comprend pas et ne l’assume pas que le mal-être s’installe : angoisse, déni, troubles divers de la vie sexuelle (« tous les troubles pathologiques de la vie sexuelle peuvent être considérés à juste titre comme des inhibitions du développement ») , dépression, etc.…
Bien entendu, cette capacité de double attirance peut être concrètement vécue, selon le choix personnel des individus et les circonstances, dans la fidélité ou pas, successivement ou concomitamment,…Lorsqu’elle est pratiquée successivement, elle peut être perçue comme une évolution d’identité d’hétérosexuelle à identité homosexuelle ou inversement ; alors qu’elle n’est souvent que l’expression même, dans le temps, de la personnalité bisexuelle. Et si de nombreuses personnes peuvent varier dans leurs pratiques sexuelles, c’est bien la preuve que l’orientation sexuelle ne se résume pas à un système purement dualiste, même s’il s’agit d’une simplification tentante.
Enfin, contrairement à beaucoup d’idées reçues, le multi partenariat ne caractérise pas plus la bisexualité que le mono partenariat ne caractérise l’hétérosexualité ou l’homosexualité. La fidélité est un choix de vie indépendant de l’orientation sexuelle. 
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Pour ma conclusion je pense que la bisexualité est très mal perçu par la société, déjà l’homosexualité est montrer du doigt, alors que peut-on pensés d’un bisexuel ? Une moitié de je sait quoi ou encore un indécis !
Pour moi je me suis retrouver dans cette thèse, mais ce qui ma permis aujourd’hui de m’assumer pleinement c’est bien ma partenaire, sans elle je serai encore sur le chemin de la double vie, il faut avoir une sacrée ouverture d’esprit et de compréhension pour accepté que son homme puisse allez s’occuper d’un autre homme ou parfois d’une autre femme…
Je pense que tout cela est avant tout grâce à notre ouverture sur le libertinage, c’est ce qui nous a permis d’être plus proche et d’autant plus complice, mais aussi d’avoir un échange de partenaire ce qui fait de nous un vrai partage, un donnant donnant, une véritable complicité où on y trouve son compte tout les deux !
Ce qui est encore plus stupéfiant aux yeux des puritains, je me fiche totalement de ce que peuvent penser les autres, j’ai qu’une vie et j’ai bien l’intention de la vivre pour moi…
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